Parce que c’est dans le même esprit que le premier Baby Assassins, mais avec les curseurs de l’absurde encore poussés.

Parce que cette plongée érotique et sensuelle d'un couple de new yorkais est devenue l'un des films cultes des années 80.

Parce que comme souvent dans le cinéma de Yerzhanov, c’est un film hanté : par le passé, par des esprits qui refusent de quitter le monde des vivants.

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce que cette oeuvre méconnue est le second long-métrage de Dennis Hopper en tant que réalisateur, après le succès de Easy Rider.

Parce-que, à l'ombre d'Halloween et Vendredi 13, le cinéma d'horreur des années 80 compte un autre personnage de tueur increvable jusqu'à l'absurde : le flic zombie Matt Cordell !

Parce que c'est le 15 septembre 1954 que fut tournée la mémorable scène de la bouche de métro.

Parce que Klapisch dresse le portrait de plusieurs parisiens dans une capitale sublimement filmée.

Parce que c'est une grande histoire d'amour portée par une actrice d'exception, Saoirse Ronan, ici au sommet de son Art.

Parce que vous devez voir ce film avec cette idée en tête : le personnage de Jennifer Lawrence serait Mère nature, la Terre abusée par Dieu et les humains.

Parce que Redford a travaillé son rôle avec Richard Helms, autrefois grand ponte de la CIA.

Parce que le tournage du film en Louisiane ne fut pas une mince affaire et que ça se sent !

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que ce film, basé sur une histoire vraie, se déroule dans les bas-fonds de l'industrie du X aux États-Unis.

Parce que Karin Viard finit par être touchante dans la peau d'une femme que l'on voudrait dans un premier temps gifler tant elle est odieuse.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que derrière l’accumulation des corps se trouve le récit progressiste d’un cinéaste prônant la liberté, en pleine période franquisme, d’intolérance et de répression.

Parce que c'est un film tourné très loin (au Pérou) sans trucages et ça se remarque!

Parce que Larry Clark s'est inspiré d'une histoire vraie, un fait divers qui choquant et dérangeant

Parce que Claude Chabrol était passionné du roman de Flaubert depuis l'âge de 13 ans mais a attendu d'en avoir 60 pour le porter à l'écran.

Parce ce film culte (et inédit en France) offre une vision crue, âpre et réaliste de la consommation de drogue chez les ados dans l'Espagne des années 80.

Parce que cette suite directe du premier El Pico reprend les mêmes personnages déchus pour un nouvel opus, encore plus violent et plus provoquant.

Parce que Trintignant est terrifiant quand il joue  les ennemis publics n°1.

Parce que c'est le quatrième plus gros succès du box-office français 1979.

Parce-que, à l'ombre d'Halloween et Vendredi 13, le cinéma d'horreur des années 80 compte un autre personnage de tueur increvable jusqu'à l'absurde : le flic zombie Matt Cordell !

Parce-que William Lustig a bien retenu la leçon de toute suite qui se respecte : en faire toujours plus !

Parce qu’après Taxi Driver, cette collaboration Scorsese-Schrader explore une nouvelle fois les bas-fonds de la nuit new-yorkaise.

Parce que ce dernier volet clôture une trilogie géniale, s'inscrivant dans la mythologie new-yorkaise au même titre que les films de Scorsese.

Parce que ce thriller a été la première fiction tournée à La Nouvelle-Orléans après le terrible ouragan Katrina qui ravagea la ville en octobre 2005.

Parce que le film remet en question les outrages de la police pendant les années de plomb, oscillant entre gags légers et violence rare (presque gore) pour un polar italien.

Parce que Tomas Milian est génial en ancien ripoux devenu flic à l’hygiène douteuse, sorte d’alterego crasseux d’Al Pacino dans Serpico.

Parce que cette plongée dans la nuit de Los Angeles montre un monde désenchanté, presque nihiliste.

Parce que Marlène Jobert y est le seul élément féminin dans une histoire pourtant trés virile

Parce que la violence et la beauté vont de pair dans cette cinglante vue en coupe de l'Amérique bourgeoise et provinciale et de ses hypocrisies monstrueuses.

Parce que le film a été tourné en décors naturels à New York, en particulier dans le quartier de Little Italy, ce qui n'était pas si courant dans les années 1940.

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que c’est la preuve qu’une bonne série TV peut inspirer un bon film – c’est loin d’être toujours le cas ! – que Russell Crowe ne cabotine pas trop et que Ben Affleck ne sous joue plus.

Parce Sons of Denmark est un film d’anticipation des années 2010 dont l’histoire démarre pile en 2025.

Parce que quatre ans après Le Promeneur du Champ-de-Mars, Robert Guédiguian renoue avec l’histoire en réalisant ce film.

Parce qu’un road movie n’a jamais aussi bien porté son nom !

Parce que c'est une comédie douce-amère sur la maternité et la place de la femme.

Parce que le film interprété et produit par Reese Witherspoon donne envie de partir loin dans les montagnes et de respirer le grand air.

Parce qu'avec Tim Burton, poésie, terreur et humour s'entrechoquent toujours avec talent.

Parce que pour son premier film, Anne Le Ny signe une histoire d'amour naissante, drôle et grave à la fois.

Parce qu'Helen Hunt a reçu l'Oscar pour son rôle d'assistante sexuelle.

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce que c'est le premier film réalisé par le grand acteur britannique Idris Elba

Parce que ce remake de Tim Burton a permis de relancer la franchise au début des années 2000.

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que Larry Clark s'est inspiré d'une histoire vraie, un fait divers qui choquant et dérangeant

Parce que cette comédie romantique devenue culte tord joyeusement le cou aux stéréotypes.

Parce que ce film culte des années 90 se révèle être un savant mélange entre science-fiction, action, dystopie mais aussi satire et comédie : un cocktail bien dosé et explosif.

Parce qu’après Taxi Driver, cette collaboration Scorsese-Schrader explore une nouvelle fois les bas-fonds de la nuit new-yorkaise.

Parce qu'une nouvelle fois, Miller illustre ses obsessions sur l'enfance, la nature, la sexualité, la solitude.

Parce que dès son 1er film, Jane Campion rentrait en compétition à Cannes.

Parce que c'est le remake de L'énigme du Chicago Express, film noir majeur des années 50.

Parce que Sylvester Stallone reprend la main, dans un moment difficile de sa carrière, en guide de montagne traquant les méchants réfugiés dans les cimes.

Parce qu'Edward aux mains d'argent est le monstre de Frankenstein de Tim Burton.

Parce que ce film culte est un peu le film-somme de Robert Redford, acteur et réalisateur.

Parce qu'on ne se lasse pas d'entendre ce thème musical légendaire !

Parce que le rôle de Tina Turner a failli être interprété par une autre star de la chanteuse en la personne de Whitney Houston, avant d'échoir à Angela Bassett, qui en a tiré une nomination à l'Oscar de la meilleure actrice.

Parce que c'est une comédie d'action, genre trop rare, mise en scène par James Cameron lui-même.

Parce que ce classique de Steven Spielberg fut salué dès sa sortie par des anciens combattants affirmant que la reconstitution très réaliste du débarquement de Normandie est l'un des points forts du film.

Parce que c'est sans aucun doute la plus grande réussite de la période hollywoodienne de John Woo.

Parce que c'est l'histoire d'un cinéaste sans talent (Edward D. Wood Jr.), racontée par un artiste qui en a beaucoup (Tim Burton).

Parce qu’avec ce second long-métrage, Wes Anderson confirme ses capacités de créateur excentrique et raffiné, à travers une comédie douce-amère sur la mort, l’ambition et le passage à l’âge adulte.

Parce que Redford a travaillé son rôle avec Richard Helms, autrefois grand ponte de la CIA.

Parce que le tournage du film en Louisiane ne fut pas une mince affaire et que ça se sent !

Parce que pour la première fois, Coluche, en triste pompiste, n'y faisait pas rire

Parce que c'est le dernier coup d’archer de Don Luis Bunuel, une variation mélancolique et cocasse autour du roman de Pierre Louiys, la femme et le Pantin.

Parce que le DJ Bob Sinclar a choisi son nom en référence à Belmondo dans le film.

Parce que Trintignant est terrifiant quand il joue  les ennemis publics n°1.

Parce que l’acte de naissance de la star Arnold Schwarzenegger s’est fait dans un film fondateur de la fantasy.

Parce qu'il fait partie des 45 films recommandés par le Vatican (ainsi que par le festival de Cannes puisqu'il a obtenu la Palme d'Or).

Parce que George C Scott a remporté l'Oscar pour son rôle de général mais l'a refusé.

Parce que cette oeuvre méconnue est le second long-métrage de Dennis Hopper en tant que réalisateur, après le succès de Easy Rider.

Parce qu'à le revoir, le film de Carlos Saura vaut encore davantage que la chanson qui le popularisa jadis

Seul Buñuel pouvait réaliser un film sur un groupe de bourgeois qui ne parvient pas mener à bien dîner. A le réussir et à le faire vieillir aussi bien.

Parce qu’Ingmar Bergman filme Ingrid Bergman pour la première et unique fois et lui offre un rôle puissant face à Liv Ullman.

Parce que cette fausse bluette en Sardaigne dévorant symbolise bien la manière très années 70 de raconter les traumatismes et le désir.

Parce que non seulement le film de Scola ne vieillit pas (il est classique), mais son actualité s’épanouit (il est moderne).

Parce que, pour son premier film, Ridley Scott cherche à retrouver la lumière du Kubrick de Barry Lyndon

Parce qu’entre les dialogues de Michel Audiard, la mise en scène de Gilles Grangier et la générosité de Jean Gabin et Bernard Blier, on ne sait plus où donner de la tête.

Parce que c’est le meilleur film tourné sur les coulisses d’Hollywood.

Parce que Sydney Pollack décide d’aborder les conséquences dramatiques de la grande dépression des années 30 par le biais d’un banal concours de danse comme il en existait tant à travers l’Amérique.

Parce que Marilyn et Montand ont respecté le titre anglais du film ("Let's make love").

Parce que le film est l'oncle américain de la Nouvelle Vague, des 400 coups et d'A bout de souffle.

Parce que c'est Peter Sellers en personne qui fait la voix des oiseaux de la vieille dame

Parce que c'est l'un des plus beaux et impressionnants films sur la Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale

Parce que cette oeuvre belle et dérangeante fut récompensée du Lion d’or à Venise en 1967.

Parce que c'est l'une des plus belles, audacieuses et réussies adaptation du classique de Victor Hugo.

Parce que c'est l'une des plus belles, audacieuses et réussies adaptation du classique de Victor Hugo.

Parce que c'est ce classique d'Antonioni qui a fait de Monica Vitti une star internationale

Parce que ce film, incompris à sa sortie, est aujourd'hui considéré comme un des plus grands films du cinéma de genre.

Parce que sa réalisatrice, l’actrice Ana Mariscal, considérait cette chronique estivale sur la fin de l’innocence, comme l’une de ses oeuvres les plus personnelles.

Parce que John Ford choisit de tourner son film sans maquillage ni parfum

Parce que cette grande aventure burlesque rappelle le génie et la malice des albums de Tintin.

Parce que c’est peut-être l’un des plus grands films sur la famille, forcément dysfonctionnelle ici, puisque nous sommes au coeur du cinéma de Wes Anderson.

Parce que le film transpose Tchekhov en remplaçant le théâtre par le cinéma.

Parce que Klapisch dresse le portrait de plusieurs parisiens dans une capitale sublimement filmée.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que Daniel Day-Lewis a remporté l'Oscar et le Golden Globe du meilleur acteur.

Parce que, sélectionné en compétition officielle à la Berlinale 2020, Paula Beer y remporte l'Ours d'argent de la meilleure actrice.

Parce que la silhouette qui ouvre et ferme le film est bien celle de Lilian Hellman herself!

Parce que ce remake d’un classique du cinéma anglais est une délicieuse comédie noire et burlesque des frères Coen.

Parce que Robin Williams a reçu le Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical en 1988 pour ce rôle.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que le film est le dernier très grand de Richard Fleischer, glaçant aussi.

Parce que le réalisateur de Drunk signe un splendide mélodrame.

Parce que le titre original en italien,"la première nuit de quiétude", renvoyait à Goethe.

Parce-que, à l'ombre d'Halloween et Vendredi 13, le cinéma d'horreur des années 80 compte un autre personnage de tueur increvable jusqu'à l'absurde : le flic zombie Matt Cordell !

Parce-que William Lustig a bien retenu la leçon de toute suite qui se respecte : en faire toujours plus !

Parce que ce dernier volet clôture une trilogie géniale, s'inscrivant dans la mythologie new-yorkaise au même titre que les films de Scorsese.

Parce que Tomas Milian est génial en ancien ripoux devenu flic à l’hygiène douteuse, sorte d’alterego crasseux d’Al Pacino dans Serpico.

Parce que ce film qui mêle fantasme lesbien et psychanalyse dans la haute bourgeoisie anglaise est un giallo érotique et élégant signé Lucio Fulci.

Parce que ce Giallo rural à l’ambiance particulièrement macabre est considéré par son réalisateur Lucio Fulci comme le film qu’il préférait dans sa riche filmographie.

Parce que, dans la masse de tous les slashers produits dans les les années 80, celui-ci a eu l'indécence de devenir culte.

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que c'est une porte d'entrée aussi fascinante que percutante vers le méconnu cinéma australien des années 80.

Parce que dans ce tourbillon de violence, Tsui Hark dresse le terrifiant portrait d’une jeunesse nihiliste dépourvue d’espoir et de rêve d’ailleurs.

Parce que le film (de chasse à l'homme) a été qualifié par son réalisateur de "film pop".

Parce qu'il n'y a pas de docteur Hitchcock dans le film, mais cela ne se fait jamais de mal de se référer au grand Alfred lorsqu'on réalise un thriller.

Parce qu’il s’agit du premier film estonien à avoir été nommé aux Oscars (c’était en 2015).

Parce que ce thriller à combustion lente brosse le portrait tout en nuances d’une Turquie loin des cartes postales.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que le film fait un pas de côté permanent pour raconter autrement le quotidien d'un pays en guerre civile depuis des années.

Parce que Julie Gayet, actrice, productrice, féministe, fait face avec courage et talent à une problématique dont elle constate chaque jour les effets dans le milieu du cinéma.

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que cette histoire digne des frères Coen fait passer les aventures de Very Bad Trip pour une soirée Monopoly-tisane.

Parce que bien que datant de 2012, le film a été tourné en pellicule 35mm.

Parce que ce mélodrame situé au Brésil confirme l’actrice portugaise Maria de Medeiros comme une cinéaste engagée.

Parce que le pitch est complètement délirant : un tueur en série se met à décapiter des réalisateurs iraniens. Sauf un...

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce que c’est un film majeur qui demande au spectateur de se mettre dans la peau d’un aveugle, de le suivre, de le comprendre.

Parce que derrière ce titre énigmatique se cache un film doux et très juste sur le deuil.

Parce que ce thriller dénonce bruyamment et violemment les violences faites aux femmes amérindiennes aux États-Unis.

Parce que c'est la tante du réalisateur Steven Wouterlood (dont c'est le premier long métrage) qui lui a fait lire le roman d'Anna Woltz, qu'il a alors eu l'envie d'adapter.

Parce que c'est une version moderne des aventures du célèbre héros des romans de Mark Twain.

Parce que l'idée originale de ce film réalisé en 2020 revient au président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Parce que cette comédie horrifique intitulée "Monsters Academy" ne doit pas être confondue avec "Monstres Academy", le film d'animation Pixar de 2013, qui était la suite de "Monstres et Cie".

Parce que les aventures épiques de Kara et ses amis sont inspirées par le jeu vidéo "Mini World".

Parce que les petits hollandais sont comme les petits français : turbulents mais sympas !

Parce que les cours sont en plein camping !

Parce que pour le dernier volet de la trilogie : tous en scène !

Parce que même si le violoncelle n'est pas un instrument très rock, il se marie finalement bien avec la guitare et la batterie.

Parce que thriller de science-fiction ne laisse aucun répit au spectateur. Sa bande-son vitaminée et sa mise en scène dynamique se révèlent très efficaces autour d’un héros amnésique tentant de se reconstruire. Ce film de genre venu d’Allemagne constitue

Parce que ce film d'animation brille par son inventivité visuelle, tant au niveau des créatures (robot à trois têtes, démon de glace...) que des décors (fleurs géantes...).

Parce que le réalisateur de ce film d'animation a précédemment travaillé avec les studios Disney et Pixar, ainsi qu'avec Tim Burton.

Parce que ce film de fantasy se déroule dans l'univers du jeu vidéo en ligne "Dragon Nest".

Parce que c'est le cinquième épisode de la saga des Ours Boonie, qui en compte de nombreux autres.

Parce que la star du tennis Daniil Medvedev a prêté sa voix à un des personnages principaux de ce beau film d'animation pour toute la famille.

Parce que Lola est une petite fille sensible... mais avec du caractère

Parce que ce film sur la cuisine aborde également de façon fine les tensions entre les communautés juive et musulmane.

Parce que ce sont les début de Thomas Cailley, réalisateur des géniaux Les Combattants et Le règne animal.

Parce que le tournage du film en Louisiane ne fut pas une mince affaire et que ça se sent !

Parce que c'est un documentaire impactant, poignant, perturbant même, sur l'influence du groupe religieux connu sous le nom de Temple satanique.

Parce que Natalie Beder, comédienne et réalisatrice, dirige et accompagne André Wilms, dans un jeu de deuil et de fantôme tout en douceur.

Parce que Marylin a vraiment failli se noyer dans la rivière du titre.

Parce que c'est Peter Sellers en personne qui fait la voix des oiseaux de la vieille dame

Pour le conte féérique avec la bergère

Parce que le DJ Bob Sinclar a choisi son nom en référence à Belmondo dans le film.

Parce qu'avant la tortue Rouge, Michael Dudok de Wit faisait ses gammes

Parce qu'en n'étant ni une parodie ni un pastiche, ce western spaghetti aussi drôle que beau célèbre ce que le genre a de purement mythologique.

Parce que ce classique du film d'animation érotique a gagné le Cristal du court métrage d'Annecy en 2012

Parce qu'on y entend Sheila (et qu'Ozon y provoque!)

Parce que le court de Ladj Ly on le sait sera développé plus que brillamment en long.

Parce que la musique est signée par le groupe d'électro M83, dont l'un des membres est le frère du réalisateur Yann Gonzalez.

Parce que le film de Xavier Legrand filme en fait le 1er chapitre de son Jusqu'à la garde

Parce que le film était le dernier court de François Ozon avant qu'il passe au long

Parce que "Yandere" est un terme japonais qui décrit la façon dont l'amour dérive en folie furieuse ; ce qui résume bien ce court métrage.

Parce que la véritable inspiratrice du film (fantastique) est bel et bien la Bretagne

Parce que ces quatre minutes d'humour noir ont été inspirées par l'expérience de Milgram, qui prouve à quel point des individus ordinaires peuvent commettre des actes horribles.

Parce que ce troisième et dernier court métrage réalisé par Claude Miller a été interdit aux moins de 18 ans à sa sortie en raison de son antimilitarisme.

Parce que le film reçut le César ( du meilleur court métrage!) en 2014

Parce que le personnage principal a le même nom que son interprète, la regrettée Juliet Berto, icône de la Nouvelle Vague vue chez Godard et Rivette avant de réaliser ses propres films.

Parce qu'on y voit Maurice Pialat dans un petit rôle de photographe.

Parce que deux frères que tout oppose, interprétés par les généreux Sébastien Chassagne et Olivier Chanteau, valent bien une petite balade en Bretagne.

Parce qu'on découvrait dans le film (signé Marina de Van!) Gaspard Ulliel à 12 ans

Parce que le film a été tourné au long cours entre 1991 et 1994, durant les travaux de réouverture de la grande galerie de Zoologie de Paris.

Parce que ce documentaire de passionné replonge avec délice et quelques savoureuses anecdotes dans les grandes années du western spaghetti.

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

Parce que tournage sur place a pris six mois, alors qu'on a l'impression que le film se déroule en 24 heures.

Parce que pour la première fois, un grand musée ouvrait ses coulisses à des caméras.

parce que ce documentaire est galvanisant dans sa façon de s'adresser aux jeunes pour leur parler des grandes avancées sociales de notre pays. Pédagogique sans être didactique, le film fait mouche.

Parce que le film demeure le plus gros succès en salles pour un documentaire non animalier.

Parce que Nicolas Philibert n'imaginait pas, au départ, que son film comporterait autant de personnages.