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Parce que cet étonnant mélange de documentaire et de fiction est basé sur des faits réels.

Parce que cette histoire d'amour dans l'Amérique White trash est une des premières représentations de personnes transgenres au cinéma.

Parce que c'est un grand classique des fêtes, servi par un casting de grand luxe.

Parce que le personnage principal couvre une distance de 404 kilomètres durant son voyage, ce qui est à la fois peu et beaucoup, selon le moyen de locomotion.

Parce que ce troisième long métrage de François Ozon est rempli de références aux contes de fées en général et à "Hansel et Gretel" en particulier.

Parce qu'une nouvelle fois, Miller illustre ses obsessions sur l'enfance, la nature, la sexualité, la solitude.

Parce que ce film culte est un peu le film-somme de Robert Redford acteur et réalisateur.

Parce qu’avant Ratatouille, un film français montrait comment un rat pouvait perturber un ordre bien agencé.

Parce que c'est grâce à ce film que Juliette Binoche est entrée dans le club très fermé des artistes français récompensés par un Oscar, avec Simone Signoret, Claude Lelouch, et ensuite Marion Cotillard et Jean Dujardin.

Parce que c'est l'histoire d'un cinéaste sans talent (Edward D. Wood Jr.), racontée par un artiste qui en a beaucoup (Tim Burton).

Parce que contrairement à la version de 1947, le magasin Macy refusa cette fois d'apparaître.

Parce que le rôle de Tina Turner a failli être interprété par une autre star de la chanteuse en la personne de Whitney Houston, avant d'échoir à Angela Bassett, qui en a tiré une nomination à l'Oscar de la meilleure actrice.

Parce que c'est sans doute le chef d'oeuvre de Robert Redford en tant que réalisateur.

Parce que, outre Harrison Ford, le personnage de Jack Ryan a été interprété par Alec Baldwin, Ben Affleck, Chris Pine et John Krasinski.

Parce que Claude Chabrol était passionné du roman de Flaubert depuis l'âge de 13 ans mais a attendu d'en avoir 60 pour le porter à l'écran.

Parce que dès son 1er film, Jane Campion rentrait en compétition à Cannes.

Parce que c'est le film qui a révélé Charlotte.

Parce que pour les Charlots, le film succédait au Retour des bidasses en folie

Pour la rencontre unique entre Lee Marvin et Jean Carmet (et sous le soleil)

Parce qu'en 1983 ce n'était pas évident que Thierry Lhermitte et Daniel Auteuil, alors connus comme les comiques de service, tiennent les rôles principaux d'un polar.

Parce que l'ambiance William Irish se francise bien, avec de l'astuce quand même.

Parce que c'est l'unique film écrit et réalisé par l'homme de théâtre Jean-Pierre Darras, qui débuta sa carrière avec Philippe Noiret.

Parce que pour le scénario sobre et tragique, pour ses 4 César, pour la mélancolie des acteurs.

Parce qu'on ne se lasse pas d'entendre ce thème musical légendaire !

Alain Corneau transpose l’univers de Jim Thompson, ses meurtres minables et ses escrocs dérisoires, dans la banlieue parisienne qui se constitue alors. Nous sommes en 1978 et Patrick Dewaere est magnifique.

Parce que Robert Altman démonte et critique la légende de Buffalo Bill, et prend la parti des Indiens.

Parce que c'est une adaptation du roman Papillon (1969) écrit par Henri Charrière, présenté comme autobiographique, et qu’il met en scène 2 monstres sacrés : Steve McQueen et Dustin Hoffman.

Christopher Lee et Peter Cushing, deux légendes du cinéma fantastique, s'affichent au générique...