LA MACHINE À ÉCRIRE ET AUTRES SOURCES DE TRACAS

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Parce qu'en 2023, Nicolas Philibert a reçu l'Ours d'or du festival de Berlin pour son documentaire Sur l'Adamant ; celui-ci est devenu le premier volet d'un triptyque sur le système psychiatrique français, que vient clore La Machine à écrire et autre sources de tracas.

Parce que ce troisième volet est plus court (1h12) que ses deux prédédesseurs, Sur l'Adamant (1h49) et Averroès et Rosa Parks (2h23).

Parce que La Machine à écrire et autres sources de tracas est sorti en salles seulement trois semaines après Averroès et Rosa Parks. Le film a été monté très rapidement, avec sobriété et sans musique (si ce n'est une chanson).

Parce que la docteure Linda de Zitter, psychologue clinicienne et psychanalyste, a accompagné Nicolas Philibert dans la réalisation de ses trois films et l'a aidé à découvrir le système psychiatrique français.

Ainsi s'achève la trilogie entreprise par le bienveillant et empathique Nicolas Philibert qui nous a immergés quelques heures durant en milieu psychiatrique.Après Sur l’Adamant puis Averroès & Rosa Parks, il nous offre d'accompagner deux membres de L'orchestre. ...

Merci à Nicolas Philibert d'utiliser la médiation audiovisuelle pour nous partager les valeurs humaines avant se concentrer sur la psychose et les médicaments. C'est grâce à elles, aux passions, aux désirs et aux capacités des personnes que l'on réussi à se ...

Dernier volet de la trilogie du documentariste Nicolas Philibert.Après avoir posé sa caméra dans un centre de jour flottant sur la Seine dans Sur l'Adamant et dans deux unités hospitalières dans Averroes & Rosa Parks, sorti il y a quelques semaines seulement, il conclut ...