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Le Deuxième Acte
Parce que Quentin Dupieux est un stakhanoviste : Le Deuxième acte est son cinquième film en seulement trois ans.
Parce que le film réunit trois énormes stars (Lindon, Seydoux et Garrel), une vedette montante (Quenard) et... un parfait inconnu (l'excellent Manuel Guillot, qui est également peintre et chanteur).
Parce qu'en mettant en scène des acteurs qui jouent des acteurs, Dupieux s'amuse des travers du monde du cinéma et nous fait réfléchir sur la création artistique.
Parce que le plan final, qui a beaucoup fait jaser, est un travelling d'anthologie, et peut-être une référence au début du Mépris de Jean-Luc Godard.