LE MEILLEUR DES MONDES POSSIBLES en VOD
- De
- 1973
- 183 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que Malcolm McDowell s'y appelle Travis, comme dans If et Britannia Hospital
Ouvrier dans une usine de café, Mick Travis est promu VRP et envoyé vendre des échantillons dans le Nord-Est. Ses clients l’emmènent voir un spectacle de strip-tease et Mick est encore promu pour aller vendre en Ecosse. En route, il se perd, est fait prisonnier et torturé par l’armée, avant d’être libéré par la porteuse de thé. Après de nombreuses péripéties, il rencontre l...
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- Drame
- Royaume-Uni | Etats-Unis
- Tous publics
- VM
1 MIN AVANT
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LES AVIS SENS CRITIQUE
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1 MIN AVANT
En 1973, Malcolm McDowell retrouve pour la seconde fois le personnage qu’il avait joué cinq ans plus tôt dans If, du même Lindsay Anderson. En effet, il s’appelle une fois de plus Mick Travis, mais il n’est plus le jeune révolté en lutte contre l’autorité de l’école.
Cette fois il est tout disposé à s’intégrer dans la société, en acceptant un poste de VRP pour une entreprise de café. Son travail le mènera aux quatre coins de la Grande-Bretagne où, avec beaucoup de candeur, il fera l’apprentissage de la vie. D’une dimension épique - le film dure trois heures -, son histoire prend l’apparence d’une fable picaresque rythmée par des interludes musicaux. La structure est vaguement inspirée de Candide de Voltaire (d'où le titre français du film), mais le point de vue très caustique porté par le réalisateur sur la société est très caractéristique des années 70 .
Pourtant, Lindsay Anderson se garde bien de donner des leçons. Au contraire, il invite le spectateur à interpréter selon sa propre sensibilité ce délire foisonnant, qui tient autant de la satire réaliste que du rêve poétique.
Cette fois il est tout disposé à s’intégrer dans la société, en acceptant un poste de VRP pour une entreprise de café. Son travail le mènera aux quatre coins de la Grande-Bretagne où, avec beaucoup de candeur, il fera l’apprentissage de la vie. D’une dimension épique - le film dure trois heures -, son histoire prend l’apparence d’une fable picaresque rythmée par des interludes musicaux. La structure est vaguement inspirée de Candide de Voltaire (d'où le titre français du film), mais le point de vue très caustique porté par le réalisateur sur la société est très caractéristique des années 70 .
Pourtant, Lindsay Anderson se garde bien de donner des leçons. Au contraire, il invite le spectateur à interpréter selon sa propre sensibilité ce délire foisonnant, qui tient autant de la satire réaliste que du rêve poétique.
Dans le même genre vous pouvez trouver 1984 (La fiction sert de prétexte à une critique de la société vue par un personnage candide et isolé) ou encore BRITANNIA HOSPITAL (Le même personnage (Mick Travis) réalise un reportage sur un hôpital qui reflète les travers de la société britannique.).