Tous les films de Court-Métrages

films en streaming et en VOD - Page 2

Parce que pour son 3e film, Mikhaël Hers recevait le prix Jean-Vigo du court métrage

Parce que le spectateur s'interrogera longuement sur le vrai du faux dans ce court particulièrement intriguant.

Parce que David Coquard-Dassault, dont c'est ici le premier court métrage, a ensuite travaillé comme directeur artistique du superbe "Le sommet des dieux", d'après Jirô Taniguchi.

Parce que le désir amoureux n'a que rarement été aussi bien filmé.

Parce que le film parvient en 20 minutes à établir des portraits d'adolescents avec délicatesse et justesse.

Parce que la musique est signée par le groupe d'électro M83, dont l'un des membres est le frère du réalisateur Yann Gonzalez.

Parce que Thomas Salvador est réalisateur et acteur, mais aussi prestidigitateur, alpiniste, danseur et acrobate.

Parce que ce court métrage pudique, récompensé aux Césars, réunie l'actrice Marilyne Canto (également réalisatrice), son compagnon Antoine Chappey et leur fils Louis.

Parce qu'en lieu et place de la magie d'un tournage de cinéma, Les Volets raconte ses petites contrariétés, et son besoin de mimolette.

Parce qu'il y a certes de la téléréalité mais aussi plein d'animaux

Parce que c'est la lauréat du César du meilleur court métrage en 2003.

Parce que Paolo Trotta parvient à passionner avec une tombe pour seul décor et une Catherine Hiegel bouleversante.

Parce que le duo Dominique Abel et Fiona Gordon offre, comme ici, des pépites burlesques et tendres qu'il faut absolument découvrir.

Parce que Florence Miailhe réalise ses films grâce à la technique de la peinture sur verre, pour un résultat d'une rare beauté.

Parce que ce dessin animé plein de gags nous rappelle le bon vieux temps du cinéma burlesque muet.

Parce qu'on découvrait dans le film (signé Marina de Van!) Gaspard Ulliel à 12 ans

Parce que cette séance de psy pas comme les autres illustre impeccablement le principe de l'inquiétante étrangeté.

Parce que c'est une pépite du cinéma fantastique français, à une époque où le genre était délaissé dans le pays.

Parce que le film était le dernier court de François Ozon avant qu'il passe au long

Parce que la BD que le film adapte était elle-même tirée de Baudelaire

Parce qu'on y entend Sheila (et qu'Ozon y provoque!)

Parce que les thèmes de "En guerre" étaient déjà présent 20 ans plus tôt dans le film de Stéphane Brizé

Parce que juste à travers les mains, des gens racontent des histoires touchantes, amusantes, faussement anecdotiques.

Parce qu'avant la tortue Rouge, Michael Dudok de Wit faisait ses gammes

Parce que cette ode au rêve réunit Mathieu Kassovitz et Vincent Cassel, un an avant La Haine.

Parce que la chute du film est devenue mythique

Parce que le 71 rue Blanche est l'adresse de l'atelier du sculpteur Christophe Boutin, coréalisateur du film.

Parce qu'on trouve dans le film l'esprit que Jean-Pierre Jeunet approfondira dans Amélie Poulain

Parce que Klapisch donnera le titre de son film (un faux docu) à sa société de production

Parce que, filmé à Manhattan, le film montrait déjà que Klapisch était un grand voyageur

Pour la brève rencontre de deux grands acteurs comiques français: Pierre Richard et Jacques Villeret.

Parce que le film annonce le cinéma à venir d'Alain Cavalier

Parce que le film ouvre différents thèmes qu'Olivier Assayas approfondira ensuite

Parce que les années ont érigé le premier film de Caro Jeunet au rang de classique

Parce que le film a reçu une Palme d'or à Cannes ( du court métrage)

Parce que ce troisième et dernier court métrage réalisé par Claude Miller a été interdit aux moins de 18 ans à sa sortie en raison de son antimilitarisme.

Parce que c'est le seul film en prises de vue réelles de Jean-François Laguionie, grand cinéaste d'animation.

Parce que le sujet de ce court métrage (la torture) lui a valu plusieurs mois d'interdiction de diffusion.

Parce qu'on y voit Maurice Pialat dans un petit rôle de photographe.

Parce que le personnage principal a le même nom que son interprète, la regrettée Juliet Berto, icône de la Nouvelle Vague vue chez Godard et Rivette avant de réaliser ses propres films.

Parce qu'en scrutant les gestes du quotidien, Guy Gilles a créé un portrait de Paris et de la France de 1965.

Parce que certes le film est signé Laloux Topor mais avec aussi Alain Goraguer à la musique

Parce que le film mêle images de concert rock et musique classique en fond sonore

Parce que le film de Pialat a souvent été qualifié de plus beau au sein du cinéma français

Parce qu'on n'a pas tous les jours l'occasion de découvrir les aventures d'un chameau facétieux à travers la Tunisie.

Parce que l'on redécouvre petit à petit le cinéma d'Edouard Luntz

Parce qu'après "La Pointe courte" et avant "Cléo de 5 à 7", Agnès Varda réalisa, tout en fantaisie et couleurs irradiantes, un documentaire sur les châteaux de la Loire.

Parce que Resnais a ainsi fait entrer la Bibliothèque Nationale au Panthéon du cinéma

Parce que Jacques Rozier nous entraine sur les chemins de l'école buissonnière et des rivières varoises, dans un rythme empreint de fraîcheur et de liberté.

Parce que ce titre imprononçable correspond au nom latin du Manchot Empereur, qui est justement le sujet du film.