Films d'aventure et films d'action

en VOD et en Streaming

Parce que comme souvent dans le cinéma de Yerzhanov, c’est un film hanté : par le passé, par des esprits qui refusent de quitter le monde des vivants.

Parce que cette suite est encore plus spectaculaire, touchante et riche que le premier opus déjà excellent.

Parce que cette histoire digne des frères Coen fait passer les aventures de Very Bad Trip pour une soirée Monopoly-tisane.

Parce que c’est l’histoire de la revanche des geeks losers devenus les rois du monde au XXIe siècle.

Parce que auto-produite avec peu d'argent, cette “série Z volontaire” retrouve l'esprit vintage et l'ambiance déjantée du cinéma d'exploitation des années 70.

Parce que c'est un huis clos sobre et accrocheur, aux personnages humains et complexes.

Parce que ce film entre la science-fiction et le polar offre un rôle sur mesure à Guy Pearce.

Parce que, on le sait depuis "Matrix", les mondes virtuels sont un parfait moyen de booster le cinéma d'action.

Parce que sa violence fun et décomplexée rappelle le cinéma de Kitano

Parce que ce classique du film de Kung-fu rassemble les meilleurs acteurs du genre, dont un Donnie Yen quinquagénaire en grande forme.

Parce que c'est le volet final d'une saga parfaitement épique racontant la vie et l'oeuvre du mentor de Bruce Lee.

Parce que ce film de "survival" surprend et déjoue nos attentes par la présence inattendue de Charlotte Gainsbourg.

Parce que ce feel-good movie lumineux est un précieux allié pour bousculer les visions sur le handicap.

Parce que les personnages de ce film d'animation sont doublés par des habitués des films de super-héros : James Marsden a été Cyclope dans la saga "X-Men" et Alfred Molina le légendaire Docteur Octopus de "Spider-Man 2".

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que c'est le Nikita sud-coréen !

Parce-que, souvent imité depuis près de 40 ans, l'univers fantastique de Tim Burton n'est jamais mieux servi que par lui-même.

Parce que plus de cinquante années après son apparition, le célèbre kaiju n’a jamais été aussi menaçant.

Parce que le film mérite d’être redécouvert pour ses qualités de divertissement grand public, hélas balayées par une actualité tragique.

Parce qu’un film qui dézingue du nazi, ça fait toujours plaisir.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que le film interprété et produit par Reese Witherspoon donne envie de partir loin dans les montagnes et de respirer le grand air.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que la courbe Stanton du film existe vraiment, à Bellaire Ohio.

Parce que la musique de Gianni Ferrio (qui a composé entre autres, la musique du Dollar troué) va vous rester dans la tête pendant longtemps.

Parce que Forest Whitaker a pris 25 kilos pour incarner Idi Amin Dada.

Parce que ce thriller a été la première fiction tournée à La Nouvelle-Orléans après le terrible ouragan Katrina qui ravagea la ville en octobre 2005.

Parce que la boxe est probablement le sport le plus cinématographique qui soit !

Parce qu'au-delà de la fiction, c'est un véritable plaidoyer pour les vins "nature".

Parce que Matthew McConaughey s'est inspiré du général Patton pour créer son personnage de militaire chasseur de dragons.

Parce que c'est sans aucun doute la plus grande réussite de la période hollywoodienne de John Woo.

Parce que c'est une comédie d'action, genre trop rare, mise en scène par James Cameron lui-même.

Parce que Sylvester Stallone reprend la main, dans un moment difficile de sa carrière, en guide de montagne traquant les méchants réfugiés dans les cimes.

Parce que pour la première fois au cinéma, les effets spéciaux jouaient avec les liquides.

Parce qu'il fait partie des 45 films recommandés par le Vatican (ainsi que par le festival de Cannes puisqu'il a obtenu la Palme d'Or).

Parce que c'est une porte d'entrée aussi fascinante que percutante vers le méconnu cinéma australien des années 80.

Parce que les effets stop motion du film évoquent ceux de Ray Harryhausen.

Parce que le tournage du film en Louisiane ne fut pas une mince affaire et que ça se sent !

Parce que l’acteur du méchant a été hospitalisé durant le tournage et a dû doubler sa doublure en post-production.

Parce que l’acte de naissance de la star Arnold Schwarzenegger s’est fait dans un film fondateur de la fantasy.

Parce qu'on ne se lasse pas d'entendre ce thème musical légendaire !

Parce que les films de prison pour femmes des années 1970-80 étaient un bon prétexte pour dénuder des actrices.

Parce qu’il n’y a pas que dans “Roadhouse” que les gorges des adversaires sont réduites en compote.

Parce que c'est un film tourné très loin (au Pérou) sans trucages et ça se remarque!

Parce qu'il y a la seule rencontre Belmondo Resnais.

Parce que c’est un incontournable du cinéma d’arts martiaux asiatique.

Parce que le film a bien été tourné sur les côtes vénézueliennes.

Parce que l'acteur Guy Madison est le seul authentique Américain du film, tous les autres noms à consonance anglo-saxonne du générique sont les pseudonymes de l'équipe italienne.

Parce que le légendaire et controversé général Custer méritait bien cette fresque plus symbolique que réaliste sur les errements des USA durant les guerres indiennes.

Parce que même si le réalisateur, Mario Caiano, manquait de moyens, certaines séquences ne manquent en revanche pas d'audace.

Parce que le film (de chasse à l'homme) a été qualifié par son réalisateur de "film pop".

Parce que ce fleuron de l'Euro Spy (le film d'espionnage-action européen des années 1960) a pour héros l'agent Super 7, auquel il ne manque que le 00.

Parce que le film (italien) se glissait dans les pas du succès des "Vikings" de Fleischer

Parce que derrière la caméra se cache Don Siegel, réalisateur de Dirty Harry et l'un des plus grands cinéastes des années 60 et 70.

Parce que le titre du film renvoie à la phrase de Rommel le 22 avril 1944 en Normandie.

Parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne : André Hunebelle avait déjà dirigé Jean Marais à trois reprises (notamment dans Le Bossu) et allait ensuite le retrouver pour Fantômas et ses suites.

Parce que cette biographie de Hiro Saga, est l’occasion pour Kinuyo Tanaka de livrer une grande fresque équipe, n’ayant rien à envier aux classiques du genre.