Tous les films de Adrénaline

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Parce que Carter Smith prouve que le cinéma d’horreur indépendant a encore de belles heures devant lui.

Parce que c’est l’histoire de la revanche des geeks losers devenus les rois du monde au XXIe siècle.

Parce que Full of Worms est une oeuvre dont on ne ressort pas indemne et qui redéfinit la définition de dégoût. Un sommet d’immondice face auquel même les estomacs les plus solides auront du mal à résister.

Parce que auto-produite avec peu d'argent, cette “série Z volontaire” retrouve l'esprit vintage et l'ambiance déjantée du cinéma d'exploitation des années 70.

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que c'est un huis clos sobre et accrocheur, aux personnages humains et complexes.

Parce que, on le sait depuis "Matrix", les mondes virtuels sont un parfait moyen de booster le cinéma d'action.

Parce que ce film d'horreur est aussi une satire de la course à la popularité sur les médias sociaux.

Parce que sur l'affiche du film, le deuxième i du titre est transformé en point d'exclamation, ce qui correspond à la signature du tueur.

Parce que cette histoire de monstres et de champignons ravira les fans du jeu vidéo "The Last of Us".

Parce que l'interprète du tueur est également le réalisateur du film que les personnages regardent au cinéma (il s'agit de "Frankenstein: Day of the Beast" qui a été réalisé en 2011).

Parce que ce film d'épouvante dénonce la pratique bien réelle de la fracturation hydraulique, qui est considérée comme dangereuse pour l'environnement.

Parce qu'un jeu de massacre gore et déjanté filmé comme du Sergio Leone et traité façon cartoon.

Parce que c’est un film hardcore, véritable ovni dans le paysage cinématographique français.

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que le concept est tenu jusqu’au bout: le film est quasiment muet, tout en étant parfaitement terrifiant !

Parce que vous devez voir ce film avec cette idée en tête : le personnage de Jennifer Lawrence serait Mère nature, la Terre abusée par Dieu et les humains.

Parce que cet ambitieux film de SF français est un bel exemple de production transmédia, dont l'univers a également été développé en BD, en roman et en jeu de plateau.

Parce que ces courts métrages horrifiques effraient bien davantage que bon nombre de longs métrages.

Parce que Colin Farrell est un fan du film original, qu'il a vu plus de dix fois.

A cause d'un bonus de mauvais goût : aux Etats-Unis, le DVD du film était accompagné d'un morceau de viande soi-disant préparée par le personnage du cannibale.

Parce que pour une fois, le titre international colle parfaitement au film !

Parce que c'est la deuxième fois, après "La Comtesse perverse" en 1974, que Jess Franco réalise une histoire de chasse à l'humain, façon "Les Chasses du comte Zaroff".

Parce que Run and Kill (1993) de Billy Tang mélange les genres cinématographiques avec une vitalité inouïe.

Parce que ce film marque la rencontre de deux grands noms de l'horreur. Argento et Romero, à l'ombre de l'éternel Edgar Poe.

Parce que la brume du film est authentique, pas artificielle

Parce que ce film japonais est une oeuvre sauvage et dérangée qu’il est difficile d’oublier.

Parce que c'est un slasher aussi sanglant que dérangé sur fond de gros trauma familial

Parce que le cinéma urbain allemand des années 80 pouvait rivaliser avec les séries B américaines badass.

Parce que c'est une porte d'entrée aussi fascinante que percutante vers le méconnu cinéma australien des années 80.

Parce que les effets stop motion du film évoquent ceux de Ray Harryhausen.

Parce que dans ce tourbillon de violence, Tsui Hark dresse le terrifiant portrait d’une jeunesse nihiliste dépourvue d’espoir et de rêve d’ailleurs.

Parce que le réalisateur, pour définir l'ambiance de son film d'horreur, s'est inspiré d'une visite des Catacombes de Paris qu'il avait faite dans sa jeunesse.

Parce que ce (très drôle) slasher des années 80 est un nanar qui s'assume.

Parce que cette suite directe du premier El Pico reprend les mêmes personnages déchus pour un nouvel opus, encore plus violent et plus provoquant.

Parce que le réalisateur John "Bud" Carlos était un touche-à-tout qui a fait de nombreux métiers du cinéma : cascadeur, assistant-réalisateur (de Sam Peckinpah), technicien des effets spéciaux...

Parce qu'on retrouve au générique (à un poste de consultant) le fameux sataniste Anton Szandor LaVey, créateur de l'Eglise de Satan.

Parce ce film culte (et inédit en France) offre une vision crue, âpre et réaliste de la consommation de drogue chez les ados dans l'Espagne des années 80.

Parce qu'il s'agit d'un des premiers rôles marquants de Bill Paxton, futur acteur-fétiche de James Cameron (le chasseur de trésors de "Titanic", c'est lui !)

Parce que sous le vernis d’un sympathique slasher, Sweet Sixteen critique certaines dérives de la société américaine.

Parce que, dans la masse de tous les slashers produits dans les les années 80, celui-ci a eu l'indécence de devenir culte.

Parce que l’acteur du méchant a été hospitalisé durant le tournage et a dû doubler sa doublure en post-production.

Parce que Jess Franco, plutôt spécialiste de l'horreur gothique (avec le personnage du docteur Orlof), s'essaie ici au slasher, à la mode des années 1980.

Parce que ce film est comme une promenade cauchemardesque dans le Berlin Ouest du début des années 1980.

Parce que la présence de Gérard Jugnot jette un pont (ou plutôt un viaduc) entre la bande ces Charlots et celle du Splendid.

Parce que cette série B d'horreur efficace, pur produit du cinéma d'exploitation américain des années 70/80, est restée culte pour les multiples apparitions sanglantes de créatures au look de mini-méduses voraces.

Parce que le réalisateur Lewis Teague est un spécialiste des films d'horreur animaliers : "L'incroyable alligator", "Cujo" (le Saint-Bernard enragé de Stephen King) et le film à sketches "Cat's Eye".

Parce que ce Cluedo à l’ambiance gothique entremêle joyeusement les genres.

Parce que les films de prison pour femmes des années 1970-80 étaient un bon prétexte pour dénuder des actrices.

Parce que le film a reçu les compliments de Stephen King himself.

Parce que ce Giallo rural à l’ambiance particulièrement macabre est considéré par son réalisateur Lucio Fulci comme le film qu’il préférait dans sa riche filmographie.

Parce qu’il n'y a pas vilain plus vilain que Vitali, le méchant joué par Helmut Berger.

Parce que Tomas Milian est génial en ancien ripoux devenu flic à l’hygiène douteuse, sorte d’alterego crasseux d’Al Pacino dans Serpico.

Parce qu’il n’y a pas que dans “Roadhouse” que les gorges des adversaires sont réduites en compote.

Parce que le vampire du film est originaire de Salem, ville habituellement plutôt associée aux sorciers et aux sorcières.

Parce que ce film qui mêle fantasme lesbien et psychanalyse dans la haute bourgeoisie anglaise est un giallo érotique et élégant signé Lucio Fulci.

Parce que situé dans un futur proche, le film met en scène une société dans laquelle un événement sportif ultra-violent permet aux gouvernants de diriger le peuple.

Parce que le film inspirera George Miller et ses Mad Max.

Parce que le film est le dernier très grand de Richard Fleischer, glaçant aussi