Les plus vus

Parce que Carter Smith prouve que le cinéma d’horreur indépendant a encore de belles heures devant lui.

Parce que c'est un huis clos sobre et accrocheur, aux personnages humains et complexes.

Parce que Tomas Milian est génial en ancien ripoux devenu flic à l’hygiène douteuse, sorte d’alterego crasseux d’Al Pacino dans Serpico.

Parce que auto-produite avec peu d'argent, cette “série Z volontaire” retrouve l'esprit vintage et l'ambiance déjantée du cinéma d'exploitation des années 70.

Parce que l’acteur du méchant a été hospitalisé durant le tournage et a dû doubler sa doublure en post-production.

Parce que les effets stop motion du film évoquent ceux de Ray Harryhausen.

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que Carter Smith prouve que le cinéma d’horreur indépendant a encore de belles heures devant lui.

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que derrière l’accumulation des corps se trouve le récit progressiste d’un cinéaste prônant la liberté, en pleine période franquisme, d’intolérance et de répression.

Parce que ce Cluedo à l’ambiance gothique entremêle joyeusement les genres.

Parce qu'il n'y a pas de docteur Hitchcock dans le film, mais cela ne se fait jamais de mal de se référer au grand Alfred lorsqu'on réalise un thriller.

Parce que dans ce tourbillon de violence, Tsui Hark dresse le terrifiant portrait d’une jeunesse nihiliste dépourvue d’espoir et de rêve d’ailleurs.

Parce que c'est une porte d'entrée aussi fascinante que percutante vers le méconnu cinéma australien des années 80.

Parce que Run and Kill (1993) de Billy Tang mélange les genres cinématographiques avec une vitalité inouïe.

Parce que Tomas Milian est génial en ancien ripoux devenu flic à l’hygiène douteuse, sorte d’alterego crasseux d’Al Pacino dans Serpico.

Parce que le film (de chasse à l'homme) a été qualifié par son réalisateur de "film pop".

Parce que ce film japonais est une oeuvre sauvage et dérangée qu’il est difficile d’oublier.

Parce que non seulement Gainsbourg joue dans le film, mais il en a composé la musique.

Parce que ce film est procession ahurissante d'images sado-maso trempées dans les couleurs psychédéliques du chef opérateur Ugo Brunelli.

Parce que c’est l’histoire de la revanche des geeks losers devenus les rois du monde au XXIe siècle.

Parce que ce film qui mêle fantasme lesbien et psychanalyse dans la haute bourgeoisie anglaise est un giallo érotique et élégant signé Lucio Fulci.

Parce que Full of Worms est une oeuvre dont on ne ressort pas indemne et qui redéfinit la définition de dégoût. Un sommet d’immondice face auquel même les estomacs les plus solides auront du mal à résister.

Parce que le film est une expérience documentaire sans équivalente sur la place de l'homme sur terre.

Parce que ce film compte parmi les titres phares de l'âge d'or du giallo, genre populaire en Italie dans les années 1970, qui conjugue suspense horrifique et érotisme.

Parce que, dans la masse de tous les slashers produits dans les les années 80, celui-ci a eu l'indécence de devenir culte.

Parce que l’acteur du méchant a été hospitalisé durant le tournage et a dû doubler sa doublure en post-production.

Parce que le film (italien) se glissait dans les pas du succès des "Vikings" de Fleischer

Parce que ce (très drôle) slasher des années 80 est un nanar qui s'assume.

Parce que ce Giallo rural à l’ambiance particulièrement macabre est considéré par son réalisateur Lucio Fulci comme le film qu’il préférait dans sa riche filmographie.

Parce qu’il n'y a pas vilain plus vilain que Vitali, le méchant joué par Helmut Berger.

Parce que ce film est comme une promenade cauchemardesque dans le Berlin Ouest du début des années 1980.

Parce que Mitraillette Kelly reste l'un des meilleurs films de Roger Corman, roi de la série B hollywoodienne.

Parce que le cinéma urbain allemand des années 80 pouvait rivaliser avec les séries B américaines badass.

Parce que c’est un incontournable du cinéma d’arts martiaux asiatique.

Parce qu’il n’y a pas que dans “Roadhouse” que les gorges des adversaires sont réduites en compote.

Parce que ce polar en noir (et blanc) est signé par un étonnant metteur en scène autrichien, qui a réalisé des comédies, des films d'horreur mais aussi des westerns !

Parce que c'est un huis clos sobre et accrocheur, aux personnages humains et complexes.

Parce que cette série B d'horreur efficace, pur produit du cinéma d'exploitation américain des années 70/80, est restée culte pour les multiples apparitions sanglantes de créatures au look de mini-méduses voraces.

Parce que les effets stop motion du film évoquent ceux de Ray Harryhausen.

Parce que c’est un film hardcore, véritable ovni dans le paysage cinématographique français.

Parce que derrière une apparence de série B de Science-fiction, Objectif Terre aura profondément transformé ce genre.

Parce que Caltiki, le monstre immortel est un fort beau fleuron de la série B italienne.

Parce que sous le vernis d’un sympathique slasher, Sweet Sixteen critique certaines dérives de la société américaine.

Parce que auto-produite avec peu d'argent, cette “série Z volontaire” retrouve l'esprit vintage et l'ambiance déjantée du cinéma d'exploitation des années 70.

Parce ce film culte (et inédit en France) offre une vision crue, âpre et réaliste de la consommation de drogue chez les ados dans l'Espagne des années 80.

Parce que cette suite directe du premier El Pico reprend les mêmes personnages déchus pour un nouvel opus, encore plus violent et plus provoquant.

Parce que pour une fois, le titre international colle parfaitement au film !

Parce que le concept est tenu jusqu’au bout: le film est quasiment muet, tout en étant parfaitement terrifiant !

Parce qu'un jeu de massacre gore et déjanté filmé comme du Sergio Leone et traité façon cartoon.

Parce que vous devez voir ce film avec cette idée en tête : le personnage de Jennifer Lawrence serait Mère nature, la Terre abusée par Dieu et les humains.

Parce que ce film d'épouvante dénonce la pratique bien réelle de la fracturation hydraulique, qui est considérée comme dangereuse pour l'environnement.

Parce que Christopher Lee y considère son rôle comme un des meilleurs de sa carrière.

Parce que cette histoire de monstres et de champignons ravira les fans du jeu vidéo "The Last of Us".

Parce que la brume du film est authentique, pas artificielle

Parce que le réalisateur John "Bud" Carlos était un touche-à-tout qui a fait de nombreux métiers du cinéma : cascadeur, assistant-réalisateur (de Sam Peckinpah), technicien des effets spéciaux...

Parce que c'est un slasher aussi sanglant que dérangé sur fond de gros trauma familial

Parce que Colin Farrell est un fan du film original, qu'il a vu plus de dix fois.

Parce qu'on retrouve au générique (à un poste de consultant) le fameux sataniste Anton Szandor LaVey, créateur de l'Eglise de Satan.

Parce que c'est un croisement, typique des années 1950, entre un film de monstre et un film sur l'adolescence (avec même une chanson rock).

Parce que film s'inspire de Poe et que Christopher Lee s'appelle ici Comte Regula

Parce que le vampire du film est originaire de Salem, ville habituellement plutôt associée aux sorciers et aux sorcières.

Parce que la présence de Gérard Jugnot jette un pont (ou plutôt un viaduc) entre la bande ces Charlots et celle du Splendid.

Parce que sur l'affiche du film, le deuxième i du titre est transformé en point d'exclamation, ce qui correspond à la signature du tueur.

Parce que ce film d'horreur est aussi une satire de la course à la popularité sur les médias sociaux.

Parce que ces courts métrages horrifiques effraient bien davantage que bon nombre de longs métrages.

Parce que cet ambitieux film de SF français est un bel exemple de production transmédia, dont l'univers a également été développé en BD, en roman et en jeu de plateau.

Parce que, on le sait depuis "Matrix", les mondes virtuels sont un parfait moyen de booster le cinéma d'action.

Parce que le film inspirera George Miller et ses Mad Max.

Parce que ce film marque la rencontre de deux grands noms de l'horreur. Argento et Romero, à l'ombre de l'éternel Edgar Poe.

Parce que la moto de Marianne Faithfull est une Harley Davidson Electra Glide.

Parce que le film est composé de quatre histoires, trois tirées d'Edgar Allan Poe et une de Thomas De Quincey.

Parce que situé dans un futur proche, le film met en scène une société dans laquelle un événement sportif ultra-violent permet aux gouvernants de diriger le peuple.

Parce que les films de prison pour femmes des années 1970-80 étaient un bon prétexte pour dénuder des actrices.

Parce que le réalisateur, pour définir l'ambiance de son film d'horreur, s'est inspiré d'une visite des Catacombes de Paris qu'il avait faite dans sa jeunesse.

Parce que l'interprète du tueur est également le réalisateur du film que les personnages regardent au cinéma (il s'agit de "Frankenstein: Day of the Beast" qui a été réalisé en 2011).

Parce que le réalisateur Lewis Teague est un spécialiste des films d'horreur animaliers : "L'incroyable alligator", "Cujo" (le Saint-Bernard enragé de Stephen King) et le film à sketches "Cat's Eye".

Parce que ce fleuron de l'Euro Spy (le film d'espionnage-action européen des années 1960) a pour héros l'agent Super 7, auquel il ne manque que le 00.

Parce que l'acteur Guy Madison est le seul authentique Américain du film, tous les autres noms à consonance anglo-saxonne du générique sont les pseudonymes de l'équipe italienne.

Parce que Jess Franco a tourné plus de 200 films mais que celui-ci était un de ses préférés.

Parce que Serge Gainsbourg a gardé ses cheveux pour jouer le rôle du Chef des Chauves.

Parce que ce film d'espionnage, qui fait la part belle à son personnage féminin, a été le grand vainqueur de la 7e cérémonie des Golden Horse (les Oscars taïwanais).

A cause d'un bonus de mauvais goût : aux Etats-Unis, le DVD du film était accompagné d'un morceau de viande soi-disant préparée par le personnage du cannibale.

Parce que c'est la deuxième fois, après "La Comtesse perverse" en 1974, que Jess Franco réalise une histoire de chasse à l'humain, façon "Les Chasses du comte Zaroff".

Parce que Jess Franco, plutôt spécialiste de l'horreur gothique (avec le personnage du docteur Orlof), s'essaie ici au slasher, à la mode des années 1980.

Parce qu'il s'agit d'un des premiers rôles marquants de Bill Paxton, futur acteur-fétiche de James Cameron (le chasseur de trésors de "Titanic", c'est lui !)

Parce que le film a reçu les compliments de Stephen King himself.