Les plus vus

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que cette suite est encore plus spectaculaire, touchante et riche que le premier opus déjà excellent.

Parce que cette comédie romantique devenue culte tord joyeusement le cou aux stéréotypes.

Parce que c'est le dernier opus de Jeanne Labrune à ce jour, un changement de cap, un film que l'on devine d'une sensibilité écorchée, qui nous va droit au coeur.

Parce que le réalisateur de Drunk signe un splendide mélodrame.

Parce que pour son premier film, Anne Le Ny signe une histoire d'amour naissante, drôle et grave à la fois.

Parce que c'est une grande histoire d'amour portée par une actrice d'exception, Saoirse Ronan, ici au sommet de son Art.

Parce que cette comédie romantique fonctionne à plusieurs niveaux : partant d’une fiction qui flirte avec le fantastique, elle donne à réfléchir sur les rapports hommes/femmes avec subtilité et émotion.

Parce que Jean-Luc Godard, parce que Michel Legrand, parce qu'Anna Karina, parce que Prix spécial du jury et prix Pasinetti au Festival de Venise.

Parce qu’un road movie n’a jamais aussi bien porté son nom !

Parce que Larry Clark s'est inspiré d'une histoire vraie, un fait divers qui choquant et dérangeant

Parce que c'est le premier film hollywoodien qui romance sur une passion amoureuse homosexuelle adolescente.

Parce que ce film, basé sur une histoire vraie, se déroule dans les bas-fonds de l'industrie du X aux États-Unis.

Parce que voilà un exercice de style totalement fascinant : une fable absurde sur un monde (soit disant idéal) dont les artifices vont s’effondrer un à un.

Parce que c'est une comédie douce-amère sur la maternité et la place de la femme.

Parce qu’après le succès de Frances Ha, Noah Baumbach et Greta Gerwig poursuivent leur exploration d’un New-York intime et pop.

Parce que bien que datant de 2012, le film a été tourné en pellicule 35mm.

Parce que cette chronique adolescente gorgée de soleil rappelle que l’émancipation passe parfois par de simples vacances et une rencontre décisive.

Parce qu'Helen Hunt a reçu l'Oscar pour son rôle d'assistante sexuelle.

Parce qu'au-delà de la fiction, c'est un véritable plaidoyer pour les vins "nature".

Parce que ce film road-trip indie est devenu un succès surprise de l'année 2006.

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que Julie Gayet, actrice, productrice, féministe, fait face avec courage et talent à une problématique dont elle constate chaque jour les effets dans le milieu du cinéma.

Parce que Karin Viard finit par être touchante dans la peau d'une femme que l'on voudrait dans un premier temps gifler tant elle est odieuse.

Parce que les films à fois drôles et engagés ne sont pas nombreux.

Parce que comme souvent dans le cinéma de Yerzhanov, c’est un film hanté : par le passé, par des esprits qui refusent de quitter le monde des vivants.

Parce que Louis Talpe a réduit son IMC de 17 à 7 en moins de six semaines pour le film.

Parce que le film interprété et produit par Reese Witherspoon donne envie de partir loin dans les montagnes et de respirer le grand air.

Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce que Colin Farrell, Irlandais pur jus (contrairement à Cate Blanchett qui est Australienne), y fait une courte apparition.

Parce que ce thriller dénonce bruyamment et violemment les violences faites aux femmes amérindiennes aux États-Unis.

Parce que le pitch est complètement délirant : un tueur en série se met à décapiter des réalisateurs iraniens. Sauf un...

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce que Carter Smith prouve que le cinéma d’horreur indépendant a encore de belles heures devant lui.

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que ce mal aimé remake de Tim Burton porte malgré tout la patte du réalisateur.

Parce que ce film entre la science-fiction et le polar offre un rôle sur mesure à Guy Pearce.

Parce que c'est un huis clos sobre et accrocheur, aux personnages humains et complexes.

Parce que cette histoire digne des frères Coen fait passer les aventures de Very Bad Trip pour une soirée Monopoly-tisane.

Parce qu'il s'agit sans aucun doute du plus beau rôle de Kristen Stewart, qui est de toutes les scènes, et même de tous les plans.

Parce que le film parvient à renouveler le genre de la comédie familiale douce-amère

Parce que la réalisatrice a découvert son actrice principale après l'avoir vu danser.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que ce thriller à combustion lente brosse le portrait tout en nuances d’une Turquie loin des cartes postales.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que derrière ce titre énigmatique se cache un film doux et très juste sur le deuil.

Parce que Sons Of Denmark est un film d’anticipation des années 2010 dont l’histoire démarre pile... en 2025.

Parce que c’est la preuve qu’une excellente série télévisée peut inspirer un excellent film, c’est loin d’être toujours le cas !

Parce que cette comédie entraînante aborde le sujet très sérieux de la pollution industrielle.

Parce qu’il s’agit du premier film estonien à avoir été nommé aux Oscars (c’était en 2015).

Parce que la silhouette qui ouvre et ferme le film est bien celle de Lilian Hellman herself!

Parce que cette exploration fantasmé en compagnie d’une actrice rappelle Mulholland Drive et Millenium Actress.

Parce qu'il faut découvrir le talent et la beauté de Lou Lampros.

Parce que ce film puissant, qui a valu un Oscar à Jodie Foster, raconte les ravages de la culture du viol avec une précision clinique.

Parce que la réalisatrice a présenté son film comme une version d'Impitoyable de Clint Eastwood avec une machine à coudre.

Parce que c'est le premier film réalisé par le grand acteur britannique Idris Elba

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que ce classique du film de Kung-fu rassemble les meilleurs acteurs du genre, dont un Donnie Yen quinquagénaire en grande forme.

Parce que le réalisateur de Gladiator retourne au péplum en contant l’une des plus grandes légendes du monde.

Parce que le concept est tenu jusqu’au bout: le film est quasiment muet, tout en étant parfaitement terrifiant !

Parce que cette suite est encore plus spectaculaire, touchante et riche que le premier opus déjà excellent.

Parce que cette plongée chez les Pictes à l’époque romaine est avant tout un impressionnant survival.

Parce qu’un film qui dézingue du nazi, ça fait toujours plaisir.

Parce que c’est le récit sans connivence des mensonges américains ayant conduits au désastre de la guerre en Irak.

Parce que c'est le volet final d'une saga parfaitement épique racontant la vie et l'oeuvre du mentor de Bruce Lee.

Parce que sa violence fun et décomplexée rappelle le cinéma de Kitano

Parce que ce jeu de massacre gore et déjanté est filmé comme un véritable cartoon.

Parce que le film fait un pas de côté permanent pour raconter autrement le quotidien d'un pays en guerre civile depuis des années.

Parce que, certes méconnu, il s’agit pourtant de l’un des plus grands et des plus intenses rôles de Karin Viard, l’une de nos plus importantes actrices.

Parce que ce portrait de l’Iran entre totalement en écho avec la situation dramatique du pays, et notamment sur la condition des femmes.

Parce qu'avec Tim Burton, poésie, terreur et humour s'entrechoquent toujours avec talent.

Parce qu'avant de devenir une héroïne Marvel, Elisabeth Olsen avait déjà le pouvoir d'être une immense actrice.

Parce que les regards honnêtes sur les faces, sombre comme lumineuse, de l'adolescence sont rares.

Pour son premier long métrage la réalisatrice Shannon Murphy a décroché le Prix Jeunes Talents de Women in Motion, un prix qui consacre les créatrices qui font avancer la cause des femmes.

Parce que la boxe est probablement le sport le plus cinématographique qui soit !

Parce que Jane Campion filme comme personne la passion amoureuse entre le poète anglais John Keats et sa fiancée Fanny Brawne.

Parce que Daniel Day-Lewis a remporté l'Oscar et le Golden Globe du meilleur acteur.

Parce que Charlotte Sivera transforme son portrait en déclaration d'amitié

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que cette comédie noire truculente réunit le gratin des acteurs danois.

Parce que c'est le premier film en tant que réalisateur de l'acteur Charlie Day (la série "Philadelphia"). Il joue aussi le rôle principal, entouré de ses amis stars.

Parce que l'étonnant Takaaki Nomi, qui interprète le rôle principal, n'est pas acteur et ne comprenait pas qu'il tournait dans un film.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que dans ce thriller prenant et subtil, la réalisatrice July Jung dirige Bae Doona à qui elle confiera à nouveau le rôle d’une enquêtrice dans About Kim Sohee.

Parce que ce mélodrame situé au Brésil confirme l’actrice portugaise Maria de Medeiros comme une cinéaste engagée.

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que Marcelo Gomes, grand cinéaste brésilien, réalise ici son grand chef-d’oeuvre, ode aux femmes et à leur liberté.

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

Parce que Marjane Satrapi a porté à l'écran sa bande dessinée éponyme, qui est elle-même basée sur ses souvenirs d'enfance et d'adolescence.

Parce qu'on ne boude pas son plaisir de voir une série hip hop audacieuse devenir grande dans un film porté par un casting de stars et une bande son de folie !

Parce que cette suite au célèbre film d'animation adulte va encore plus loin que son prédécesseur, ce qui n'est tout de même pas peu dire.

Parce qu'avec ce premier long-métrage de fiction, le canadien Félix Dufour-Laperrière prouve qu'il est possible d'accorder l'animation en noir et blanc avec des thèmes qui touchent au politique, à l'individuel et au collectif.

Parce qu'au début des années 1980, Bill Plympton avait postulé chez Disney, en vain, et on comprend pourquoi en voyant son film.

Parce que comme Valse Avec Bachir, ce film mêle avec brio le cinéma du réel et l’animation.

Parce que quatre ans après Le Promeneur du Champ-de-Mars, Robert Guédiguian renoue avec l’histoire en réalisant ce film.

Parce que Forest Whitaker a pris 25 kilos pour incarner Idi Amin Dada.

Parce que ce film poignant montre la Shoah à hauteur d'enfants avec pudeur et sensibilité.

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que, sélectionné en compétition officielle à la Berlinale 2020, Paula Beer y remporte l'Ours d'argent de la meilleure actrice.

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce que c’est le troisième film du réalisateur Drake Doremus à être projeté au Sundance Film Festival, preuve d’un vrai regard et d’un talent hors norme.

Parce qu'Hélène Angel nous fait réaliser à quel point l'école marque nos vies.

Parce que c’est un film majeur qui demande au spectateur de se mettre dans la peau d’un aveugle, de le suivre, de le comprendre.

Parce que le film a bien été tourné sur les côtes vénézueliennes.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce que Klapisch dresse le portrait de plusieurs parisiens dans une capitale sublimement filmée.

Parce que c'est la rencontre au sommet de deux grandes actrices, Elizabeth Banks et Chloë Sévigny.

Parce que ce remake d’un classique du cinéma anglais est une délicieuse comédie noire et burlesque des frères Coen.

Parce que c’est un authentique film de geek, aux références nombreuses et intelligemment employées, pour un résultat ludique à souhait.

Parce que ce thriller a été la première fiction tournée à La Nouvelle-Orléans après le terrible ouragan Katrina qui ravagea la ville en octobre 2005.

Parce que pour la première fois au cinéma, les effets spéciaux jouaient avec les liquides.

Parce que Matthew McConaughey s'est inspiré du général Patton pour créer son personnage de militaire chasseur de dragons.

Parce que le plus compliqué des effets spéciaux fut de reconstituer le soleil.

Parce que la courbe Stanton du film existe vraiment, à Bellaire Ohio.

Parce que c'est l'un des grands classiques de Wes Anderson, et l'une de ses plus belles bandes originales.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que c’est peut-être l’un des plus grands films sur la famille, forcément dysfonctionnelle ici, puisque nous sommes au coeur du cinéma de Wes Anderson.

Parce que cette comédie représente la quintessence du cinéma de Wes Anderson, entre mélancolie, esthétique soignée et douce folie des personnages.

Parce que cette grande aventure burlesque rappelle le génie et la malice des albums de Tintin.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que cette histoire incroyable de double vie est authentique et a défrayé la chronique au Québec.

Parce que les films de mafia, on connait, mais les films de mafia québécois, pas tant que ça.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que l'efficacité plus qu'hollywoodienne de ce film sud-coréen est inattendue.

Parce que c'est le Nikita sud-coréen !

Parce que cette plongée dans la nuit de Los Angeles montre un monde désenchanté, presque nihiliste.

Parce que ce film basé sur un livre-enquête jette un nouveau regard sur les meurtres des rappeurs Tupac Shakur et The Notorious B.I.G.

Parce que le film mérite d’être redécouvert pour ses qualités de divertissement grand public, hélas balayées par une actualité tragique.

Parce que l'amateur de cinéma ne pourra jamais se remettre de De Niro faisant exploser des poubelles à la dynamite.